Buenos Aires, la nuit.
Victor, à peine sorti de ladolescence,
déambule dans les rues de son quartier.
Protégé par un inspecteur de police,
il partage son temps entre le racolage, la drague
dans les saunas de luxe et les soirées privées.
En plaçant son action la nuit du 31 octobre,
la veille de la Fête des Morts, moment propice
aux événements étranges, Edgardo
Cozarinsky sempare de la mythologie des bas-fonds
de la société argentine et plus principalement
de celle de Buenos Aires.
Le film, sur un mode fantastique, est une évocation
franche et délicate de tous les aspects de
la sexualité masculine.
Journées Cinématographiques Internationales
de Paris 2005 : Prix de lavenir.
jeudi 20 avril 2006 - 22h
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